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La « coopération » : comment passer (enfin) de la théorie à la pratique ?

 

La « coopération » est un mot facilement compréhensible de tous. La définition la plus usitée (i.e. : origine lat. : cooperari, travailler avec, réaliser une action ou une œuvre commune, syn. de collaborer) est largement partagée dans l’imaginaire collectif. Il serait donc difficile de se méprendre sur son sens lorsqu’il est employé dans une conversation.

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Quels sont les apports des sciences humaines en la matière ? En synthèse, pour être heureux, chacun doit pouvoir affirmer au mieux sa singularité (par exemple en développant ses capacités personnelles, c’est le principe d’individuation), mais aussi pouvoir entretenir des relations avec autrui. Il peut notamment s’agir de relations de coopération, son corolaire la confiance réciproque, n’est jamais très loin. L’être humain est donc, à la fois un être unique et un être social en devenir.

Les entreprises libérées : un effet de mode ?

 

Si vous vous intéressez, de près ou de loin, aux questions d’organisation du travail ou de management, vous avez sans doute récemment entendu parler de bonheur au travail ou d’entreprise libérée. Il y a un an environ, l’excellent documentaire réalisé par Martin Meissonnier diffusé par ARTE a créé une onde de choc largement relayée par la Fabrique Spinoza et les médias.


D’aucuns diront que nous assistons à un effet de mode. Peut-être. Dans ce cas, faut-il le rapprocher d’un autre effet de mode ? Celui du « tout est coaching - tous coachs » décrit par Philippe Bigot dans son ouvrage sur le Coaching Orienté Solution. Faut-il le rapprocher d’un troisième effet de mode auquel nous assistons actuellement avec la vulgarisation de la théorie du Flux (flow) formulée par un professeur en psychologie dont personne n’arrive à prononcer correctement le nom (Mihály Csíkszentmihályi) ?

Blablacar, Homeexchange ou la Construction sociale de la réalité - La technologie au secours de la relation humaine

 

Cher lecteur, le titre de cet article vous laisse perplexe ? Si oui, vous m’en voyez ravi car c’est assurément l’effet que je recherchais avec cette idée pouvant être perçue comme provocatrice par ceux qui promeuvent l’humain au quotidien.


Si vous êtes un professionnel de l’accompagnement, vous n’ignorez probablement pas l’apport du socioconstructivisme (ou constructionnisme social). Les praticiens du Coaching Orienté Solution, eux, ne peuvent ignorer sa signification tant il conditionne leur pratique professionnelle. Ceci étant, une petite révision de sa définition est toujours utile…

Travailler pour vivre ou vivre pour travailler ?
La réponse de Sandra à Heguel

 

Quel sens donner à la valeur « Travail » ?


Le Travail est-il le remède aux maux de notre société ? Faut-il l’ériger en Valeur avec un grand V pour parvenir à vivre dans une société (enfin) apaisée ? Surtout dans les quartiers dits « difficiles » où il est particulièrement difficile de trouver un travail.


« Travail, Famille, Patrie », cela vous parle ? Ce fût la devise officielle de l’Etat français (sous le régime de Vichy), période où fût instaurée en France la fête du travail le 1er mai. Le Travail est proclamé comme une valeur sociale dominante.

 

 

Le coaching au service de politiques Ressources Humaines innovantes

 

Les politiques RH et la nécessaire adaptation des compétences

 

Les études réalisées par les cabinets de conseil montrent régulièrement un décalage significatif entre les « enjeux RH » perçus par les DRH et ceux perçus par les salariés. Ce constat nous invite à nous à intéresser au contenu même de ces fameuses « politiques RH ». Quels sont les objectifs poursuivis ? Quelles actions sont menées ? Quelles pratiques professionnelles peut-on observer ? A l’évidence, une réalité très différente selon la taille de l’entreprise, son secteur d’activité, ses marchés et la personnalité de son dirigeant qui va sensiblement influer sur les pratiques managériales.

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